L'existence d'harold Fry change le jour où il reçoit la lettre de sa vieille amie Queenie qui est en fin de vie. Pour la revoir une dernière fois, Harold va entamer un long périple à pied à travers toute l'angleterre. En chemin il va faire de nombreuses rencontres enrichissantes...
Mon avis sur ce premier tome qui compose la duologie est mitigé. J'ai beacoup apprécié l'idée du voyage d'harold, en particulier l'idée d'apporter la lettre à Queenie plutôt que de l'envoyer... Ce geste montre la force de l'amitié.
Par contre cette histoire est vraiment triste sur l'ensemble des deux tomes. Elle aborde en particulier le deuil et la maladie. Il faut avoir le moral quand on ouvre ce livre . Si j'ai apprécié certains personnages secondaires qui aident Harold, je trouve que le personnage de Maureen n'est pas forcément sympathique même si le lecteur comprend pourquoi par la suite.
Dans la Lettre de Queenie qui est la suite et la fin de cette duologie, on en apprend plus sur la vie de Queenie avant sa rencontre avec Harold Fry mais aussi sur le début de leur amitié. J'ai trouvé le personnage de Queenie était attachant et drôle.
J'ai été agréablement suprise par la forme du récit qui n'est pas écrit sous forme de lettre comme on pouvait s'y attendre.
Par contre, ce tome traite énormément de la maladie. Les scènes qui se déroulent dans le centre de soins palliatifs où se trouve Queenie sont bouleversantes et peuvent déranger le lecteur car elles sont très bien écrites.
En conclusion, cette duologie est intéressante, mais il faut savoir garder une certaine distance avec certains passages difficiles du récit. Il faut avoir le moral pour lire ces deux livres...
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